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Among the Mossi of Burkina Faso, girls are married shortly after puberty (Hammond, 1966)[1]. Some adolescent bestiality occurs, also because of the late circumcision, which is necessary for access to women. On the Mossi, it is stated (Erny, 1988:p179-80)[2] that: “Les mères prennent […] l’habitude de surveiller très tôt les érections de leurs garçons. On caresse les organes génitaux surtout pour apaiser l’enfant. Des ablutions à l’eau froide visent parfois à rendre le futur homme sexuellement plus puissant. Au Katanga, “les parents se soucient très tôt de la bonne formation des organes génitaux chez leurs enfants. Il suffit de féliciter une mère pour son dernier-né en disant qu’il est muzima (plein de vie) pour qu’elle fasse constater aussitôt le bon état de ses organes génitaux, surtout s’il s’agit d’un garçon” [Leblanc, 1960:p44][3].
Additional reading :
Janssen, D. F., Growing Up Sexually. Volume I. World Reference Atlas. 0.2 ed. 2004. Berlin: Magnus Hirschfeld Archive for Sexology Last revised: Sept 2004 |
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